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10/08/2012

LA FÊTE DES GUEYEURS 2012

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Après avoir commencé à fêter la Saint-Laurent une semaine à l'avance, le week-end dernier, par la traditionnelle procession de la statue du saint, la voici à nouveau doublement fêtée cette semaine. C'est à l’hippodrome qu'échoit cette année l'honneur de fêter le saint-patron de la commune le jour même de sa fête, le 10 août. Le lendemain au vieux village, elle sera suivie par la 7e Fête des gueyeurs mise sur pied il ya quelques années par le Comité de sauvegarde sur une proposition de l'historien Edmond Rossi.

A partir de 8 h et pour toute la journée, un marché provençal et artisanal d'une douzaine de stands animera la rue Valazé avec le concours de commerçants de la rue Desjobert.

Buvette, grillade, socca et orchestre

L'après-midi, chasse aux trésors pour les enfants dans les rues du vieux village (les plus jeunes peuvent être accompagnés par les parents).

Inscription à partir de 15 h sur la place de l'église. Remise des récompenses à 18h.

A partir .de 19 h, on pourra se restaurer avec grillades, frites, socca et buvette. La soirée s'achèvera dans la gaieté sur un bal musette animé par l'orchestre Cricri. Autant d'animations bienvenues dans le centre-ville qui n'en voit plus beaucoup. C'est à l'historien Edmond Rossi et au comité du vieux village que l'on doit l'apparition de la fête des gueyeurs, qui rappelle la particularité de l'histoire de la commune et les festivités qui ont animé la commune durant des siècles lors de la fête patronale. A l'époque d'avant la télévision, ces festivités duraient jusqu'à neuf jours ininterrompus, comme peuvent encore en témoigner certains vieux Laurentins.

Les gueyeurs, une tradition séculaire

Comme le rappelle Edmond Rossi, Saint-Laurent-du-Var fut bâti au bord du Var pour en assurer la traversée. Déjà en 1005 l'abbé de Saint Véran reçut une habitation dans un hameau dénommé Varum, sur la rive droite du fleuve, où Saint Laurent s'est installé par la suite. Au XIIe siècle un ermite se rendait chaque année sur les bords du Var avec deux chevaux pour faire passer les pèlerins se rendant à l'abbaye de Lérins.

La création d'un hospice avec une « barque », confié à des religieux, a poursuivi cette coutume jusqu'au XVe siècle. La peste ayant alors ravagé le village, l'évêque de Vence Raphaël Monso l'avait alors repeuplé avec des Italiens en leur faisant obligation de tenir une « barque » pour assurer le passage sur le Var. C'était l'apparition des" premiers gueyeurs laïques, dénommés « Riveraschi », qui faisaient traverser « à gué» le fleuve au cours capricieux et parfois très large, avec ou sans barque. Organisés en corporation, ils ontmaintenu leur activité jusqu'à la construction d'un pont sur le fleuve en 1864.

LAURENT QUILICI (NICE-MATIN  9/08/2012

02/03/2012

EDMOND ROSSI DÉDICACE A LA BIBLIOTHÈQUE DE SAINT LAURENT DU VAR

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Reprenant ses activités dans le cadre de son bâtiment remis en état après l'incendie de l'année passée, la Bibliothèque de Saint Laurent du Var accueillait son premier invité l'écrivain Edmond ROSSI.
La directrice, Madame Christiane Mathelin, entourée d'une équipe de bénévoles offrit à cette occasion un "Café gourmand" au nombreux public venu là, à l'occasion de la présentation par l'auteur de son dernier et quinzième livre "Histoires et Légendes des Balcons d'Azur".
Sur notre photo, Mme Mathelin aux côtés de son invité.
Pour en savoir +:

13/02/2012

QUELQUES BONS MOTS...

EDMOND A LA FETE DU LIVRE A SAINT LAURENT 6-05-2006 (1).jpg

 

Au milieu d'un dîner bien arrosé, un invité assommant se vante auprès de Marcel Aymé :

 - Moi, monsieur, je me suis fait tout seul !

L'auteur rétorque :

- Ah, monsieur, vous décharchez Dieu d'une bien grande responsabilité.

 

Au restaurant, Alphonse Allais examine avec soin la carte et le menu,

puis finit par commander :

- Donnez-moi, pour commencer, une faute d'orthographe.

Le garçon, imperturbable, répond :

- Il n'y en a pas, monsieur Allais.

- Alors, dans ce cas, pourquoi les mettez-vous sur le menu ?

 

En fin d'un conférence d'Agatha Christie, une jeune fille lui demande :

- N'est-ce pas un choix étrange, madame, pour une romancière, d'avoir épousé  un spécialiste des fouilles
en Orient ?

- Au contraire !! Epousez un archéologue !! C'est le seul qui vous regardera avec de plus en plus d'intérêt,
au fur et à mesure que vous vieillirez !

 

- Monsieur Guitry, comment voyez-vous la vie amoureuse ?

- C'est très simple : on se veut et on s'enlace ; puis on se lasse et on s'en veut...

 

Anne-Catherine de Ligneville, encore très belle veuve d'Helvetius, ayant  vainement attendu Benjamin Franklin,
l'accueille ainsi à sa visite suivante, un peu piquée :

- N'auriez-vous pas oublié notre rendez-vous ?

- Certes non, madame ! J'attendais simplement que les nuits fussent plus longues...

 

- Cher Woody Allen, croyez-vous en Dieu ?

- Je crains que non. Mais s'il existe, il faut absolument qu'il nous présente des excuses !

 

Ce n'est pas pour rien que Rossini laissera son nom à une fameuse recette de tournedos.

A l'issue d'un repas trop frugal il s'entend dire par son hôte :

- Maître, j'espère que vous nous ferez bientôt l'honneur de dîner à nouveau ici. - Mais bien sûr ! Tout de suite si vous voulez...

 

Isadora Duncan admirait sans réserve Bernard Shaw et lui murmura un jour:

- Quel miracle ce serait d'avoir un enfant ensemble. Imaginez qu'il ait ma beauté et votre intelligence !

- Oui.... mais... suposez que ce soit le contraire...

 

L'acteur et écrivain américain Dan Spencer regarde la télé avec un ami

qui s'extasie devant les programmes du câble :

Sais-tu qu'il existe maintenant des chaînes qui ne parlent que de météo 24 h sur

24

  - Quand j'étais petit, on appelait ça une fenêtre !

 

 Un jour d'inauguration devant Guernica, un touriste allemand apostrophe Picasso :

  - C'est vous qui avez fait ça ?

  - Non ! C'est vous !

 

 On s'interrogeait sur l'âge exact d'une illustre sociétaire du Français.

 - Cinquante ans ? avança quelqu'un.

- Plus les matinées, précisa Robert Hirsch.

 

- Etes-vous déjà allé à Bayreuth ? demande-ton à Woody Allen.

- Non.. Et c'est mieux ainsi car à chaque fois que j'entends du Wagner j'ai envie d'envahir la Pologne !

 

Siegfried est présenté à l'Opéra de Paris en 1901 et provoque un enthousiasme inversement proportionnel à la froideur de la réception des premières oeuvres wagnériennes en France.

Massenet s'extasie devant le compositeur Reyer :

- Wagner ! Quel génie sublime ! Si seulement je pouvais lui arriver à la cheville !

 - Mais, vous y êtes, cher Maître ! susurra Reyer...

 

Une sufragette interrompit un jour Churchill au milieu d'un discours pour lui lancer :

- Si j'étais votre épouse, je mettrais du poison dans votre thé.

- He bien, moi, madame, si j'étais votre mari, je le boirais !

 

Pour finir ce mot d'Alexandre Dumas

J'aime mieux les méchants que les imbéciles, car parfois ils se reposent "